Poignets libres et ennuis à gogo (suite de la prison)

Jack et Gwendoline s'étaient enfuis de prison et s'était réfugié dans la forge afin d'enlever leur fers. Fort heureusement, la forge était déserte, sinon la mule qui faisait tourner les machines.

Génial, murmurait Jack.

Il ne perdit pas de temps, car il savait que de toute manière, la compagnie allait les retrouver, surtout s'il ne se dépechait pas. Il prit un fer rouge et le plaqua sur le flan de la mule. Celle ci poussa un hurlement que Jack comprenait bien... C'est que le fer rouge n'était pas indolore..Il dit à Gwendoline:

Aller. Il va falloir aller assez vite. Le hurlement de la mule les attireront peut-être ici. Les menottes sont à placer là.

il désigna l'engrenage qui tournait:

Une fois arrivées là, les chaines casseront. C'est garanti.

Il attendit que Gwendoline s'execute (je le dit parce que je suppose qu'elle n'est pas daltoniène, sans vouloir insulter qui que ce soit, et que donc elle est tout à fait apte à casser ses menotes à l'aide des engrenages de la forge...) avant de se poser la question de comment lui allait s'y prendre. Lui était accrocher au cou, aux jambes et au poignet... Comment allait-il faire? Pourquoi n'avait-il pas prit la clé!
Son attention se porta sur un fer rouge pointu... Il le prit, le plongea dans le bac d'eau qui n'était pas loin pour qu'il refroidisse et crocheta la serrure qui emprisonnait ses pieds. Puis, toujours avec le même fers, il crocheta la serrure de ce qui emprisonnait sa gorge. Il se débarrassa des mennotte de ses poignet avec les engernage et sourit, jouissant d'une certaine "liberté" de mouvement. Puis il regarda Gwendoline en souriant. Il voulait lui dire quelque chose. Mais ne sachant ce qu'il pouvait lui dire, il demanda:

Ca va?

*Punaise! Le roi des idiots, c'est toi!*

*La palme d'or de l'idiotie revient à Jack Sparrow... Pardon, au CAPITAINE Jack Sparrow pour son manque répétitif de mots à dire devant une fille qui compte pour lui...*

*Oh! Ca va, n'en rajoute pas une couche...*

Gwendoline était libre et elle sourit à Jack

Je vais bien. Merci..vraiment..merci je....

Allé!! C'est tout ce que tu as à lui dire?
Il t'a sauvé! Tu ne le voulais pas mais vous avez des chances d'être libre tout les deux!! Ne reste pas là comme une gourde! Il a risqué sa peau et ses ambitions juste pour toi!! Ne me dis pas qu'il s'est sauvé juste lui il ne t'a pas laissé!! Allé quoi fait un effort!!

Gwendoline esquiva un signe d'approche. Elle aurait télement voulut le serrer dans ses bras, le remercier...mais lui montrer qu'elle tenait vraiment à lui...qu'elle ne l'aurait pas laissé si il était resté ici....mais il fallait qu'elle s'y résigne..il est son capitaine.

Elle se contenta donc de se masser les poignées.

Gwendoline leva un oeil noir et harqua un sourcil. Un couple? Elle s'était rendu compte qu'elle ressentait des choses pour Jack....mais lui...et puis on ne pouvait pa dire que c'était un couple..se sont des amis...mais bon..

Qu'est ce que tu raconte?

Jack lui aussi ne rêvait que de ça, de prendre Gwendoline dans ses bras... Mais à cause d'une certaine forme de "timidité", il du s'y résigner...
Soudain, Momo apparut. Jack sursauta. Elle ne pouvait pas arrêter d'apparaitre à l'improviste? En tout cas, il était clair qu'elle était directe.
Oui, Jack lui avait tout dit, un peu sans s'en rendre compte... Mais il s'en voulait tellement d'avoir laissé la Compagnie emmener Gwendoline...
Il était clair qu'il ressentait quelque chose pour Gwendoline, mais elle? Il avait presque tout abandonné pour elle... Et puis, maintenant que Momo était là, ça ne servait à rien de tout cacher...

...

Il ne savait pas quoi dire, sinon, en regardant le sol, d'un murmure, pour répondre à Momo:

Pourquoi je le ferais, l'innocent?

Comment formuler son etat d'esprit du moment. Il était légèrement euphorique, heureux, un peu triste en même temps, etc... En temps normal, on résumerait cela par un mot: AMOUR! Mais là, il fallait aborder le sujet avec les mots qu'il fallait, ce qui rendait la chose beaucoup moins aisée...

Jack ne savait pas quoi répondre à Momo, ni à Gwendoline. Soudain, il senti Gwendoline le serrer dans ses bras. Sans attendre trop longtemps, Jack lui rendit son entreinte, lui murmurant à l'oreille, la voix remplie d'émotion:

Je suis tellement content de te savoir en vie et en sécurité...

Il avait adopté le tutoiement instinctivement, sans trop réfléchir... Mais l'émotion avec laquelle il s'éxprimait justifiait toute les familiarités...

Gwendoline en était très touché et decida de lui rendre son tutoiment, en chuchotant à son oreille à son tour.

Tu n'aurais jamais du te mettre en danger pour moi....mais je te remercie.

Jack lui répondit, en souriant:

Ne me remercies pas...Tu vaut largement la peine d'être secourue... Et puis, le passé c'est le passé, on y changera rien... Et c'est de ma faute si on en est là... Si j'avais été un peu plus prudent, ...

Il ne finit pas sa phrase... La phrase n'en valait pas la peine... Il brulait d'envie de dire une toute autre phrase, qui elle voulait en dire bien plus que ce qu'ils se disait déjà...

Gwendoline dessera l'étreinte et lui sourit. Alors comme ça elle en vallait la peine? Et bien celle là elle ne s'y attendait pas! Mais bon, lui aussi en vallait la peine...

Ne t'en fait pas..je ne t'en veux vraiment pas du tout, au contraire! Alors je t'interdit de te sentir fautif!!

Comment pourrait-elle lui en vouloir....pas à lui, pas pour ça. Elle aurait voulut lui dire ce qu'elle avait sur le coeur mais bon....quand on veut on peux...mais juste à ce moment...ce proverbe ne marchait pas vraiment.

On dit toujours que le plus dur, c'est d'accepter. On dit souvent que quand on veut, on peut. Mais ces deux phrases semblaient perdre leur sens tout à coup... C'était si facile à dire, et si difficile à faire...
Mais Jack ne put s'empecher de gtrimacer ironiquement aux dire de Gwendoline et d'arborer un sourire radieux. Si seulement ce moment pouvait durer une éternité...

HJ: Allez, maintenant, j'ai besoin d'un peu d'action... Je vais jouer ma sadique...

Mais ça n'était pas fini. Jack, sentant emporté par l'émotion, voulut dire

Gwendoline, je...

Mais il ne finit pas sa phrase. On essayait d'enfoncer la porte de la forge. Porte que Jack avait soigneusement fermée avant de s'occuper de la mule... Zut! ...

*Ils sont là...*

Je?? Je? Pourquoi est ce qu'il faut qu'ils arrivent maintenant?

Mince! Ne restons pas là!!

Elle fit signe à Momo de venir avec eux et attrapa Jack par la main

On sort par où?

Gwendoline lacha la main de Jack, pris son épée et attrapa le fèr chauffé à blanc que Jack avait utilisé pour la mule

Non la fuite n'est pas d'actualitée pour moi aujourd'hui.

En effet,quelques hommes peu aguéris avaient résisté à l'attaque,restés cloîtrés dans leurs quartiers,tremblants de peur.essentiellement de jeunes recrues,à peine vingt ans,savant à peine tenir un mousquet,des gamins donnés en pature aux pirates avides de sang et forts d'expérience.de la chair à canon pure et simple....Mais qu'importait,si le Lord voulait Sparrow,tous le smoyens étaient bons !
Les jeunes soldats avaient donc encerclé la porte principale de la forgerie tandis que Mercer et les deux hommes qui l'avaient accompagné à Tortuga se chargeaient de la porte de derrière,à pas de velours...En réalité,si les hommes en noir n'avaient pas encore donné l'assault,c'était que Dave voulait voir si Momo était capable de respecter le sordres de Beckett.Sa fiabilité...Et il était évident qu'il ferait un résumé fort complet de ses faits et gestes à son patron qui serait très certainement fort ravi d'apprendre le msoindres détails des agisssements de sa nouvelle recrue...
De l'autre côté de la boutique,des mouvements bien trop perceptibles : les soldats inexpérimentés s'étaient bien évidemment faits repérés,comme l'avait espéré le bras droit de Lord Beckett.Attentif aux moindres dires à l'intérieur de la forge,il attendait le fait qui destinerait ou non la corsaire à la chute...

Pour répondre aux coups de feu de la demoiselle,les recrues n'hésitèrent pas une seconde et firent feu,oubliant totalement Mercer et ses hommes.Une pluie de balles traversèrent de toute part fenêtres et portes,tout vola en éclat dans la forge : bouteilles,instruments...Des éclats de murs et de la poussière envahirent l'air qui devint presque irrespirable.Durant cinq bonnes minutes,le monde sembla se limiter à ce déluge de plomb et au son assourdissants des mousquets.

-Je vais les tuer...murmura l'homme en noir dans un murmure pour lui-même,plein de colère contre ces imbéciles qui,en tirant sur les pirates,risquaient par l'intermédiaire d'une balle perdue de les blesser !

Mais bientôt,les munitions manquèrent et les coups cessèrent momentanément.Car déjà,d'autres hommes un peu plus vieux arrivaient du fort,chargés d'ordres et de poudre,passant par de sruelles latérales,hors de portée de Sparrow et ses complices...La forgerie se transformait en forteresse asiégée au temps ancien des Croisades.
Attendre le bon moment,tout en surveillant Neko...

Lord Beckett avait décidé d'adopter uneechnique venue d'Europe de l'Est et très prisée par les peuples russes : la masse.Peu importait l'expérimentation du corps de l'armée lancé au front,ce qui comptait,c'était le nombre.Le jeune homme blessé fut tir en arrière et remplacé par deux de ses compagnons,le canon de leur arme pointé sur les fugitifs.Ecraser par la force,et non par l'adresse...Un jour ou l'autre,les pirates dvraient sortir de leur cachette.De plus,après un rapide tour du côté des archives,le atron des assassins les avaient informés par l'intermédiaire d'un émissaire de la présence de catacombe sous la boutique de monsieur Brown...Trois détachements y avaient été envoyé à titre préventif,mais également pour préparer un possible assaut,en coordination parfaite avec les autres soldats à l'extérieur...Et oui,faire des étude smilitaires servait toujours...
Mais Momo avait fait l'erreur de sortir à découvert de la forgerie.David plongea et,l'intant d'près,la demoiselle était emmenée au loin,fermemnt maintenue.Avant même qu'elle ait pu se rendre compte de ce qui se passait,elle était jetée sans douceur contre un mur,dans le secteur tenu par les accolytes du mercenaire.
Ce dernier laissa son poste d'observation à un comparse por s'occuper de sa "captive".

-Puis-je savoir ce qui vous prend ? demanda-t-il mauavis,en indiquant du menton l'arrière de la boutique,et donc ce qui venait de se passer.

-Vous voilà donc du côté ennemi ? Je suis certain que Lord Becket appréciera beaucoup cette preuve d'affection !

Discours tenu à voix basse,bien entendu.Mais même comme cela,on sentait bien la colère et le dégoût au fond de sa voix grave.

-Un plan,railla Mercer avec ironie,oh,je vois : tuer tout nos hommes jusqu'au dernier pour ensuite arrêter Sparrow et ses amis seule,comme une grande !

Elle ferait moins la maligne quand elle se trouverait nez à nez avec tout l'équipage du Pearl armé jusqu'aux dents...Et tout ça pour faire son intéressnte aux yeux de Beckett et lui plaire !

-Voilà bien encore une idée de bonne femme...!

Phrase qui en disait long sur ce que pensait l'homme de main sur les femmes...