Balade sans savoir que les ennuis sont proche(PV:toute EITC)

Oriona se promenait tranquillement, sans chercher les ennuis, sans noyer qui que ce soit, les idées claires, tranquille. Elle ignorait qu'aujourd'hui, les ennuis viendraient d'eux même. Elle avait sa chemise nouée sur le ventre, pantacourt et bottes aux pied et les cheveux en queue de cheval haute, avec une frange, chose qui lui allait superbement bien. Ah, si seulement elle savait que ça journée ne serait pas si tranquille...

Eva était sur le quaie quand un bateau de commence amara. Le marin qui était a bord decsendit passa devant Eva qui lui lança:

-Il est bien a vous ce bateau non ?

-Oui pourquoi ?

-Il faut donc que vous payez 1 shilling pour avaoir amarer votre bateau...

-Désoler je n'ai pas sa sur moi !

-Très donc je pense qu'un journnée derière les barreau permettra peut être de vous convaincre ?

-Non c'est bon ! Voila...

Il lui donna une pièce.

-très bien vous pouvez y aller !

Oriona était tellement préoccupée par ses pensée, qu'elle ne remarqua pas qu'Eva était dans les parages.

Des voix se firent entendre de l'autre côté des quais,le lond des quelques bicoques qui longeait le débarcadère.Un petit groupe de soldat suivait patiement Lord Beckett qui marchait de son pas nonchalent mais rapide.avançant aussi vite que possible derrière lui,un commis d'à peine treize ans prenait tant bien que mal des notes de ce que son supérieur lui dictait à une allure aussi rapide que son pas.Le vent porta quelues bribes de direcives :

-De cette maison à la cabane de pêcheurs..........Tout démolir.......Notez plus vite que cela......Assez grand quai pour accueillir.....Renvois obligé des occupents.............Carte blanche pour les rétifs.

Soudain,Cutler s'arrêta net,plongé dans une profonde contemplation du fort,batiment lugubre visible de tout Port Royal.Le jeune garçon soupira de soulgement et s'assit sur une caisse pour rattraper son retard.

-Peu importe le coup.....Moyens suffisants pour reconstruire toute la jetée entièrement.....Faîtes parvenir ce dossier à qui de droit.

Ayant à peine rpris son souffle,le malheureux dû reprendre s course folle vers ledit fort,serrant contre lui la liasse de feuilles durement écrites.Beckett tourna la tête et apperçu Eva.Tout en se rapprochant d'elle,il la salua courtoisement.

-Lieutenant Lederman...Ravi de vous revoir.Justement,je voulais vous parler.

Mercer,qui ne s'éloignait jamais de son patron,se posta sur un tonneau,occupé à aiguiser sa toute dernière aquisition : un couteau massif dont le manche portait déjà quelques entailles servant de registre macabre.

Eva tourna la tête et apperçut le Lord qui se dirigai vers elle. Elle eu un court sourire et lui dit:

-Heu oui...

Oriona était perdue dans ses pensées. Elle alla s'asseoir sur la bordure du quai, de biais, en laissant une jambe pendue dans le vide. C'est alors qu'elle vit en regardant les alentour les seule personnes qu'elle ne cherchait PAS aujourd'hui: Beckett et sa compagnie... Ils n'avait pas l'air de l'avoir remarqué, elle n'allait pas se faire remarquer. Elle regardait l'océan et les bateaux qui quittait le port tout en jetant de temps à autre un regard à leur discution, par simple curiosité...

D'un geste rapide mais non dénué d'élégance,Cutler la salua d'un petit signe de tête.Il n'avait pas de temps à perdre.

-Je voulais savoir où en était notre "opération",si vous aviez contact et vos plans pour la suite des évènements.

Il parlait bien entendu de l'affaire Sarah Ledermann,bien qu'il n'aimait parler de tout cela loin de la sécurité de son bureau.Cela dit,le lord ne comptait faire courir tous ses hommes à la recherche de l'espionne pour uniquement quérir des nouvelles.

Un silhouette se glissa dans le dos d'Oriona,plus silencieuse qu'un chat.

-Beaux navires,n'est-ce pas...?

Les bras croisés,Mercer la jaugeait du coin de l'oeil tout en appréciant le spectacle des bateaux amarés,mais n'acordant son assentiment uniquement au superbe batiment qu'était l'Endeavour,fierté de la EITC.

-J'ai eu quelques contact et je suis en train de réfléchir a ce que je vais pouvoir faire...

Quand Mercer parla, Eva se retourna et vis la silhouette qu'elle avait apperçut. Elle avait vue juste, c'était bien Oriona.

Beckett le va les yeux au ciel.Lui qui croyait qu'avec le temps,elle deviendrait l'un de ses meilleurs éléments...Mais les nouvelles recrues devaient être condamnées à ne jamais le satisfaire pleinement.Un claquement de doigts autoritaire rappela à eva que son patron était toujours là et que sa concentration était demandée dans les plus brefs délais.

-J'attends des résultats,mademoiselle.Je vous ai fait une fleur en accpoetant d'user de la manière douce avec votre nièce,mais elle risque fort de se flétrir un jour ou l'autre s'il n'y a pas rapidement du neuf.

Il croisa les bras et soupira,ne s'occupent absolument pas de son homme de main.

-Et quelles sont les bases sur lesquelles vous partez ?

Eva reporta son inttention sur le Lord. C'est temps si elle était un peut dans les nuages.

-Je vais essaye de savoir ce qu'elle avait l'intention de faire et de savoir avec qu'elle pirates elle a eu des contacts...

-Oh,vraiment...?

Cutler sentait lorsqu'on lui mentait.Pour une simple caraffe de Brandy vidée ou pour des détournements de fonds,il savait pertinemment lorsque la véritée était voilée.Et son ton glacial montrait bien qu'il considérait Eva comme une menteuse.

-Je vais être franc pour deux,mademoiselles : je ne crois pas un traître mot de vos affirmations.Oh,je ne remets pas en cause votre volonté à vous impliquer...Mais à me rapporter les faits de manière véridique.

Il planta son regard iceberg dans celui d'Eva,cherchant à la mettre mal à l'aise.

-Vous avez vu Sarah.Sait-elle pour qui vous travaillez et le but que vous poursuivez ?

Eva se sentie soudain mal a l'aise et sachant qu'elle ne poiuvait pluis mentir répondit:

-Oui... oui elle sait tout sa enfin... pas vraiment tout...

Etrangement,un fin sourire parvint jusqu'à ses lèvres.il avait trouvé le moyen d'obtenir ce qu'il voulait.de n'importe quelle façon,Lord Beckett était connu pour toujours obtenir ce qu'il voulait,par n'importe quel moyen.

-J'en conclu que la situation est légèrement compromise.Je vous propose donc quelque chose : si vous avez tout avoué à Sarah,je me verrai donc dans l'obligation d'employer la force pour la merner à moi.Soldats,mousquets...J'ai du mal à immaginer la scène sans une intance envie de vomir.Mais si l'opération vous parait encore réalisable et obtient une fin acceptable,je vous laisse faire à votre idée.C'est clair ?

Cutler s'approcha un peu d'elle pour créer un climat de confidentialité.

-Je n'aime pas les erreurs,lieutenant.La vie de cette chère demoiselle est entre vos,le sprochains faux-pas sera fatal.Pour vous deux.

Eva n'osait pas le regardai. Elle avait encore réussi a se mettre dans une situation délicate... Elle hocha la tête et dit timidement:

-D'a... d'accord...

Hj: Oups, un peu de retard. ><

Oriona regardait toujours les bateaux. Soudain, une ombre se dessina devant elle et une voix s'exclama:

-Beaux navires,n'est-ce pas...?

Oriona se figea. Elle reconnut sans peine la voix de Mercer, homme toujours "collé aux semelles" de Beckett. Jamais l'un sans l'autre. Elle tourna la tête, et souria nervesement. Lui ne souriait pas (admettons, puisqu'il ne m'apprecie guère). Elle arreta donc de sourire.

Effectivement. Ils sont... beau.

Elle avait du mal à cacher son embetement et son hésitation. Quoi de plus facile à comprendre...

Comme prévu,Eva ne pipait mot,intimidée,effacée,totalement dominée par la puissance invisible de son supérieur hiérarchique.cependant,Cutler aimait bien ragaillardire ses recrues en effaçant quelque peu l'image du tyran qui lui était si complaisante.

-Je sais que vous ferez votre maximum,mademoiselle.Je ne veux que le bonheur de Sarah.Le vôtre,Eva.Mais il est parfois si ardu de joindre les deux...Je m'en remets donc à vous.Vous avez ma confiance et mon appui,étonnez-moi.

Il lui sourit,un sourire rassurant,mais que les pessimistes auraient attribué à un requin prêt à avaler tout cru un poisson.



Mercer perçut ce regard,et cela lui déplut.Pourquoi s'enticher de telles gueuses alors que son vénéré patron pouvait obtenir les plus grandes dames de la Cour ? Mais il s'en remettait tout entier au Lord,le suivant même dans les tréfonds de l'Enfer.Et comme son maître,il avait appris à décrypter les émotions et les réactions des gens,à lire en eux pour trouver la faille.

-Vous devez être la fameuse nymphe...Justement,Lord beckett cherche quelqun de confiance à placer à la tête de son batiment.

Il n'ajouta rien,laissant sa phrase en suspent.Comment savoir s'il mentait ? Nul n'aurait su le dire,sauf en questionnant directement Beckett.

Eva le regarda et eu un court sourire et repartie dans ses pensée. Elle se posait plein de question, ce qui donna mal a la tête mais ne le montras pas. Elle se massa la nuque et regarda Oriona.

HJ: dsl manque d'inspi !

Oriona n'était pas dans le genre de situation où elle controlait les évenements. Elle était plutot dans la situation contraire, où elle ne controlait rien.

Je suis effectivement la fameuse nymphe.

Puis elle ajouta avec plus d'assurance.

Et qui serait cette personne de confiance, si je puis me permettre?

Elle n'était pas allée à l'eau depuis longtemps, elle ne pouvait donc tout savoir à ce sujet. Et puis qui sait, peut-etre que Mercer mentait...

Le Lord vit avec délice que la demoiselle se sentait mal,qu'elle était faible,en position d'infériorité face à lui.Et il savait parfaitement que toute âme chétive pouvait aisémnt se faire manipuler.

-Mademoiselle,vous sentez-vous bien...? Vous êtes bien pâle,subitement...Seriez-vous indisposée par ma présence...?

Son souffle court,son coeur qui s'embalait...Il les sentait,affolés,perdus,à sa merçi...


Mercer lui accorda un bref regard en biais,une esquisse de sourire traçant un rebutant rictus sur sa bouche déformée.

-Norrington,certainement.Un homme qualifié,plein de bone volonté.Mais je ne lui fait pas confiance : c'est un traître qui s'est allié aux pirates par le passé et qui nous poignardera dans le dos dès que l'occasion se présentera.Il faut à la Compagnie quelqun de confiance qui connaisse les mers comme sa poche...

Eva reporta son intention vers le Lord. Elle le regarda et dit:

-N... non sa va... j'ai juste un peut mal a la tête...

Il est vrai que Norrington pourrait changer de camp comme sa poche. Mais quelqu'un de confiance qui connaisse les mer comme sa poche? Oriona comprit. Il parlait surement de quelqu'un comme elle. Elle se radoucit et demanda:

Parleriez vous de quelqu'un comme moi?

Puis elle ajouta, en se redurcissant quelque peu.

Et si oui pourquoi?

Vu le nombre de fois où elle avait dérangé le Lord, il y avait de quoi s'interroger.

Une sentation étrange prit possession de l'être de Beckett,coulant comme du plomb en fusion dans ses veines,noyant son corps et son âme tout entiers.Il avait l'impression de percevoir les moindres variations de l'air,les humeurs qui s'y propageaient,que ses sens étaient plus qu'en éveil;décuplés.Il respirait à peine,comme si tout pouvait cesser d'un coup.

-Etrange,en effet...Prenez garde,Eva,la santé se perd encore plus vite que la vie...Ou la raison.

Enigmatqiue,il jeta un bref coup d'oeil entendu avec Mercer avant de reprendre sa contemplation lointaine de sa subordonnée.



David opina discrètement du chef à l'adresse du Lord.Il y avait un lien invisible que peu de eprsonnes s'expliquaient,se comprenant comme s'ils n'étaient qu'un,comme si leurs pensées étaient mêlées.

-Les mers sont vastes,et,bien que nos cartes se précisent,il reste des contrées d'ombre qui représentent une gêne pour l'Angleterre.Mais puisque cela ne semble pas vous intéresser...

Brusquement,il se braquait.Seul cet étrange regard échangé avec Lord Beckett aurait pu expliquer ce revirement,tandis que l'homme de l'ombre longeait tranquilement le quai,vers son maître.

Eva hocha la tête et dit d'une voix calme:

-Oui...

Elle regarda alors les vers la mer en repartie dans ses pensées.

Oriona ne comprenait plus rien. Ce revirement l'égarait. Elle ne savait plus quoi penser.

Vous n'avez pas répondu à ma question. J'aimerais une réponse.