Une survivante (Cate réveiller et Becktt)

Leurs pas résonnaient sur les dalles froides des couloirs.Des couloirs de cryptes....Opressants,humides,froids,vide,qui vous rappelaient à quel la mort peut être présente dans votre vie.Beckett frissonna,aux prises avec ses idées noires : non,il n'était pas mort.Personne ne l'était,tout allait bien.Dans quelques instants,ils passeraient près d'une fenêtre,petit carré de jour,et il verrait Port Royal,son coeur serait plus léger.Mais cette fenêtre ne venait pas.
Une angoisse folle lui bloqua durant quelques secondes la gorge.Non,il était bien vivant,malgré tout ces choses qui lui rappelaient et l'appelaient de l'au-delà,cet fort n'était pas une tombe où il finirait ses jours ne se tutant à la tâche.
Théoriquement.

-Tu...Tu n'as pas froid...?

Il avait posé cette question comme il lui aurait demandé comme elle se sentait.Mais au foond,n'espérait-il pas qu'elle démente à son tour cette horrible impression de noirceur ?

Carlotta eu un inperceptible soupire, oui il était pas bien ici. Enfermer comme dans une tombe froid et sans vie. Il laisser les pensées morbides reprendre le dessus.

-Vien suit moi!

Elle le prit par la main et le tirat. Elle l'enmenat dans un autre couloir, et sortit par une porte, arriver dehors ils sentirent l'aire chaud et frais en même temps se bercer sur leurs peau. Elle continuait de marcher, l'emenant hors du fort.

Le vent cristalisa son coeur qui ne savait plus trop où donner de la tête.Soudain des sons,de la lumière,des couleurs,l'odeur du dehors,de l'existance qui entrait en lui de force.

-Mais...Où allons-nous ? parvint-il à demander au cours de cette avancée infernale.

Les leiux lui semblaient anormalement étrangers : était-il déjà venu içi ? Oui,certainment,mais en y faisant peu ou pas attention.Il les avait traversé sans y prendre garde,coupé de la réalité à laquelle il n'appartenait plus.Beckett était au dessus de tout ça.
Mais que ce passait-il ? Finie,la collation aux cuisines ? Et tout ce décor qui semblait flotter autour de lui,si incongru,si irréel...

-Dans un endroit vivant et chaud!! loin de se fort qui te pourrie l'esprit!!

Dit elle d'un ton léger. Elle marchait toujours i, avait bien quitter le fort et elle prenait une chemin sinueux qui montait. Arriver a destination, c'était un surplond, d'une petite falaise, on voyait toute la ville, ses bruits , ses couleures, sa vie. le vent salée, venait faire veloter leurs vêtements, et les carréser, l'odeurs douce de la ville bercait leurs narrines. Un endroit de rêve, avec la vue qui s'élargissait sur la bai et l'oécan au perte de vue.


- Voici là où je vien quand je vien quand je suis pas bien, je voulais te faire partager sa.

Il ouvrit de grands yeux,ne comprenant pas.Ou ne voulant pas voir,pas saisir ce geste si touchant de la part de la jeune femme,la portée que pouvait avoir cette vue sur lui.Que pourrait.Ultime conditionnel qui faisait toute la différence.

-C'est...Paisible.

Voilà tout ce que cela lui inspirait.Mais parès tout,ce n'était qu'une falaise,avec la mer au fond,et un village entre les deux.Une ville plein de vie,de rires,de sourires...Mais Cutler était au dessus de ça,littéralement et métaphoriquement.Ce n'était pas pour lui et il commença dès à prsénet à se forger du dégoût pour ces choses si futiles,trop sucrées à son goût.

-Et bien...Merçi pour la promenade.Rentrons-nous ?

Et pour aller où ? Cutler se sentait étranger partout,de toute manière...

-Attend!

Dit elle en le tenant par la main.

-Je.....j'ai fait sa pour toi, tu semble si meurtrie entre les murs froid du fort, tu a besoin de redécouvrire a vie et la chaleur humaine, pourquoi tu en veut pas?? j'ai l'impréssion de vouloir t'aider mais que en veut pas..... est-ce a cause de moi???

Elle parlair d'une voix, étonnament douce, comme si elle vous bercer.

Cutler posa sur elle un doux regard,brillant pourtant d'une tristesse,d'une douleur très grande.Infinie...Comme la vue qui s'étendait devant eux.

-Tu a à moitié raison,Cate.J ene veux plus de cela,cela ne me correspond plus.Tout ce bonheur,si éphémère...Une drogue dont on ne s'habitue que trop et qui,quand la source se tarit,vous rend encore plus mal que vous ne l'étiez au départ.

Et lui,au départ,il était malheureux.Alors pire que cela...C'était à en perdre la raison.

-Mais ce n'est absolument pas de ta faute.Tout vient de moi,et tout finira par moi.

Finir par lui,comme si c'était sa main qui allait tiré un trait et noter le mot "Fin" au récit de sa vie...

Beckett détourna les yeux.Pourquoi voulait-on l'aider,lui ? Lui qui n'aidait personne,qui ne méritait pas qu'on l'aide,qui ne tenait pas à ce qu'on lui vienne en aide...

-C'est très aimable à toi vraiment,mais je vais bien...Je ne vois pas pourquoi tu t'inquiètes comme cela...

Il soupira doucement.Certainement le surmenage.Oui,c'était ça,rien de plus.Mais à cela,comme à la véritable cause de son mal,il n'y avait aucune solution véritablement active.

-Parlons d'autre chose.Comment va ton équipage ? Et Memphis ? Des nouvelles ?

Tient,pourquoi ne pas vendre une mèche,pour passer le temps et se refaire une santé...

-Pourquoi?? Car je t'aime voilà pourquoi!!Je t'aime a vendre mon âme pour toi, et car je le sens que tu va pas bien!!


Même si on pouvait lire de frustrasion sur son visage sa voix était toujours aussi douce.


-Je ne voie pas quel interêt on parlerai de mon monde....


Elle fit un pas vers lui, et posat ses lèvres sur les siennes. Un baiser si tendre, si doux et plein d'amour.

Cutler fut surpris par ce baiser si impromptu,si imprévisible qui le laissa saisi un instant.Deux parts de son être se disputaient l'attitude à adopter vis-à-vis de Carlotta :

Une part de lui commençait à s'irriter de cette attention constante,toujours posée sur lui comme s'il avait quatre ans,et incapable de se gérer lui-même.S'il disait que ça allait,même si ce n'était pas vrai,il aurait voulu que la jeune femme l'écoutât et le laissât "en paix".Pour faire le point,seul face à ses ennuis.

Mais dans un sens,les mots de Cate l'obligeaint à garder les yeux ouverts.

Son autre part remerciait de tout coeur sa fiancée,touchée profondément de ces gestes si sincères qui l'attiraient vers le bien,la lumière,voyait le bon en lui et le noyait d'amour.Si peu de personnes en était capable...D'être si douce,si belle à la fois,juste là pour lui,rien que pour lui,prête à tout donner si nécessaire...

Mais il était aussi représenté la force de l'Empire anglais,et ne voulait plus dépendre d'un lien qui pouvait se briser,le rendre faible et à la merçi de ses opposants.

Beckett ne savait que faire,que dire.
Mais la corsaire attendait,elle,et ne comprendrait peut-être pas.Alors il répondit à son baiser,doucement,sans appuyer mains sans non plus se retirer.
Au bout de quelques intants sucrés,le Lord détacha sa bouche de celle de la demoiselle.

-Parceque ton monde vaut tous les mondes connus et encore à découvrir...

Carlotta fut rassurer de le voir répondre a son baiser. Cela lui fessait tant de bien quand elle le sentait pret d'elle, tout ses malheurs, tout son lourd passer, toute ses pensées noires la quittait, il était le seul a lui fair voire les bonnes choses de la vie, pour lesquelles on se bat.


-Mais je veut faire partit de ton monde......

Le visage appaisé du Lord se referma un peu sous cette demande.

-Non,il ne faut pas...Ton âme est encore pure,ne la met pas ainsi en danger.

C'était une mauvaise idée,une très mauvaise idée.Car si elle sombrait à son tour,qui l'empêcheriat,lui,de couler à pique une bonne fois pour toute ? Mais parès tout,à deux,c'est toujours mieux...Et son enfer deviendrait peut-être son paradis...

-Mon monde ne vaut rien,oublie-le.C'est le meilleur conseil que je puisse jamais te donner,Cate.

Cela sonnait comme une vraie mise en garde,à vous donner de sfrissons tant elle étiat sérieuse et innébranlable.

-Alors je ne suis rien pour toi!! Juste une femme qui déséspére a trouver le bonheur dans sa vie, tu veut plus de moi......


Oui, il semblait qu'il s'éloignait de plus en plus d'elle, qu'il ne voulait plus d'elle, qu'elle n'était plus intéréssante.

Le problème,c'était que Cutler était coupé entre deux mondes,entre deux bords qui s'éloignaient de plus en plus l'un de l'autre.Et de chaque côté,de schoses,des êtres qu'il ne pouvait abandonner sans souffrir et regretter par la suite.Atroce.

-Tu es ma fiancée,et je t'aime.Voilà la seule et unique vérité qui vaille la peine d'être prise en compte.

Et aussi tout ce qu'il avait à proposer.Mais pourquoi tout était-il si complexe,pourquoi personne n'était-il jamais content avec ce qu'il avait ?

-Je n'arriverai pas à te donner plus que cela,Cate.

-Bien si tu le dit, c'est juste que......


Elle fixait ses pieds.

-j'ai l'impression que tu t'éloigne, di tle moi si je me trompe, mais tu semble moin enjouer qu'avant, moin confient et confident. Comme si tu voulait plus de moi, enfin tu n'est plus comme au début, dit le moi si je pose probléme......

Elle avait dit la dernière frase sur un ton de pitier, qu'il la soulage de cette angoise.

Là,la première petite voix en Beckett eut une foudroyante envie de réponse tranchante,un brin sèche,pour couper court à toute ces simagrées répétitives et lassantes,écrasantes.
Quand ce n'était pas son état,c'était leur relation ! La corde se tendait,elle résisterait.Mais pour combien de temps encore ?

-Je suis moins "enjoué",comme tu dis si bien,parceque ce n'est pas dans ma nature d'être "enjoué","candide",de croire que le soleil brille toujours autant et que le ciel est toujours bleu.Ce n'est plus moi.

Ras le bol des sourires factices,des "je vais bien,ne t'en fait pas"...Cela pesait lourd,très lourd.Un besoin immense de liberté et de vide saisi soudain Cutler,comme une tenaille immense et impérieuse,comme dans le couloir.Sortir...Sortir d'içi,maintenant.De la claustrophobie au grand air.

-Ecoute,Cate,écoute...continua le Lord,en se massant l'arrête du nez,les yeux clos.Tout devient complètement fou,il faut juste que nous nous calmions un peu et demain,tout semblera de nouveau normal.

Tout...Normal...Qu'est-ce que cela voulait dire ? Qu'est-ce que cela représentait ?

-Oué je voie......

Dit elle d'une voix froide.Elle fixat sa main où il ya avit la fameuse bague en émeraude, elle aurait voulut l'enlevcer et tout envoyer balader, ùmais c'était sa seule raison de vivre, sa seule excuse pour supporter tout cela, si elle l'enlevait elle pouvait se sucider le soir même!!

-Et tu apel quoi, se calmer?? Ne plus se voir??

Dit elle sur un sec et vexer.

Pourquoi voulait-elle lui faire mal ? Qu'est-ce qui était si peu clair qu'elle pense qu'il n'oeuvrait pas pour la survie et le bien-être de leur couple ?
Il ne fallait pas qu'ils perdent pieds,ils devaient êttre unis et solidaires pour franchir les épreuves et surmonter les difficultés....Utopie.Pouvait-ils y parvenir comme cela ?

-Réfléchir posément et trouver une solution qui contente tout le monde et qui nous permette de continuer dans la bonne direction.

Cutler,lui,était parfaitement calme.Un calme serein.Inébranlable,comme toujours,plus que fidèle à lui-même.

-Mais ce n'est qu'une idée,après tout...

Quand tout est contre vous,vous sentez parfois l'envie de ne plus tout donner,de ne plus se tuer à la tâche,puisque tout le monde se fiche de vous et du mal que vous vous donnez.

Carlotta sentit un frisson l'envahir, comme une vague de peur qui lui montrait un futur possible: Cutler de l'aimant plus et elle au pieds d'une falaise un filet de sang sur les lèvres. Elle secouat la tête fessant disparaitre cette image de sa tête. Puis elle se...........jeta oui on peut dire sa, sur lui et le serat contre elle, d'une façon si affectueuse, si amoureuse.

-Tu sais trés bien que je ferait tout pour toi.......




hj: pourquoi moi j'ai pas le droit au baiser langoureux et amoureux?? HEIN??

Hj : Bah....Tu n'es pas sur le point de le quitter,non...? "^^


Beckett la serra tendrement contre lui,sa joue posée contre le front de la jeune femme,la protégeant du monde extérieur comme les murailles d'un château fort.

-Je ne veux pas d'une guerre entre nous,Carlotta...Ce n'est comme cela que j'immagine l'amour...

Mais bon,apparemment,à chaque fois qu'ils se parlaient,la discussion était inévitablement condamnée à finir en dispute.Enfin en dispute...C'était plutôt le Lord qui recevait tout les mots secs et froids de la demoiselle.

-Si tu peux tout faire pour moi,alors arrête donc de t'inquiéter pour notre avenir et pour moi.Tous deux sont sur de bonnes voies.

HJ: quoi!! mais j'ai ajmmais dit cela!! il m'en a jammais fait alors que je suis la 1er femme qu'il a aimer mais une putain de pirate y a le droit, tu veut vraiment que je te parle plus!!!!!



Elle ne pouvait pas se défaire de lui, dcomme une drogue qui nous forcait a rester, une beoin si fort que quand vous l'assouviser, il devenit encore plus fort.

-Pourtant, pour ce qui est de toi, j'en ai pas l'impréssion, tu semble si mal, je suis vraiment désoler, j'ai toujours la manie de m'inquiêter, facilement pour les personnes a qui je tient. Je ne devrait pas être si faible.....

Hj : Regarde,il a refusé de t'abandonner pour suivre Momo,c'est pas une preuve d'amour,ça...?



-On s'endurcit avec le temps,ma chérie.J'en suis la preuve vivante.

Pour le cas du Lrd,c'était plus que de l'endurcissemet.Bien plus.Mais parès tout,cela servait : Carlottatrouvait enfin une épaule forte et solide sur laquelle s'appuyer,se reposer,tandis qu-il gardait la tête haute t bien vissé sur les épaules.Et puis la châleur du corps de la corsaire se communiquait un peu à son propre être qui se rappelait soudain que la vie,au dehors,battait son plein.

-Et si je te disais que la gestion de la EITC est une tâche très dure,qui me sappe mon énergie,bien qu'étant mon rêve,qu'elle me ronge jusqu'à la corde,qu'elle m'enchaîne et condamne mon âme,maqie que cela me plaît,accepterais-tu de m'oter du mal-être de te savoir mal à cause de cela,dis-moi...?

hj: laisse moi en douter.......



-Oui je sais, je sais que tu tien énormément a ton travail, et je respect cette idée.Non je t'assure que cela ne vient pas de là, tu peut être rassurer et confiant. c'est juste que tu passe plus de temps avec ton bureau et t'est collégue que moi.......mais je t'assure que je ne remet pas en cause ton travail!!

Beckett eut un petit rire,oui,Cate arrivait toujours à dire ce qu'elle voulait dire,et c'était fort appréciable,au fond.Ce qui amusait Cutler était que la demoiselle ne remettait pas en cause son travail,mais était lassée par cette "chose mystérieuse" qui occupait toutes les journées de son fiancé,à savoir ce fameux travail.

-C'est...Fort clair,Cate.Cependant,j'aimerai que tu me donnes ton avis...Selon toi,comment remédier à ce problème ?

Il voulait juste savoir si elle avait une idée,une proposition et,qui sait,une solution à ce problème qui n'en était pas vraiment un.