nargue becket

Oriona sourit. c'était amusant. Il la traitait comme si elle était l'un de ses matelots...

Oh, mais de rien Beckett. Mais je ne suis pas l'un de tes matelots qui dispose quand tu le souhaite. Loin de moi l'idée de rester.

Puis regardant dans les yeux, en disparaissant petit à petit, comme emportée par le vent:

Mais ta loi n'est pas ma loi. Et ma loi, je l'applique quand je le souhaite, où je le souhaite.

Puis alors qu'elle avait disparut:

Au plaisir de te revoir Beckett.

Puis le vent qu'elle était devenu s'en alla par la fenêtre en grand coup de vent, renversant sur son passage quelque papier du bureau. C'était le genre de coup de vent qu'on se prenait quand on avait pas d'écharpe en hiver lors des tempêtes de neige. De quoi jeter un froid au sens propre du terme...

ces petites sorcelleries ne l'impressionnaient plus,comme les sauts d'humeur d'Oriona.Elle pouvait tempêter autant que son coeur lui en dirait,Cutler resterait implacable : elle était partie,point.

-Certes,bien que je crois que je sois le seul à éprouver ce sentiment...

Il appuya bien sur le dernier mot,encore une pique,comme pour se prouver de son autorité.Mais qu'avait-il de plus qu'elle,au fond ?
Cutler se servit un verre et trinqua avec un partisant immaginaire.

-N'oubliez pas ed fermer la fenêtre,surtout....On ne sait qui pourrait entrer.