L'histoire avance pas à pas... ET BOUM! les ennuis!

Il était tant que la Compagnie Anglaise des Indes Orientales montre à quel point il était dangereux de s'opposer à elle et de menacer ses intérêts.Les richesses que volaient sans vergogne les pirates l'emputait d'une part de sa vie,de son sang,de son existance propre,et ce petit jeu n'amusait plus Lord Cutler Beckett.Apposer un point final à cette histoire comme on appose le fer rouge sur le bras de ces hors-la-Loi.Une bonne fois pour toutes.
Puisque le capitaine du Pearl s'attaquait à la EITC ele-même,pourquoi ne pas frapper en plein coeur de Sparrow ? Mercer avait repéré le petit manège des deux jeunes gens et,avec l'approbation totale de son supérieur,avait décidé de passer à l'attaque.L'homme en noir avait donné le signal de l'assaut : dans un silence parfait,il avait saisi Gwendoline par les épaules et,tandis qu'il lui baillonnait la bouche,deux soldats tombèrent sur Jack,armés de bâtons.L'un d'entre eux s'abatit avec violence sur la nuque du promeneur qui n'avait même pas eu le temps d'esquisser le moindre geste de défense.Un des deux assassins à la solde du mercenaire,une fois assuré que sa victime avait sombré dans les limbes,n'eut aucun scrupule à cracher sur le pauvre homme avec un ricannement sinistre.

-Nous ne sommes pas içi pour nous amuser,messieurs,siffla David.Ramenons plutôt notre nouvelle protégée à Port Royal...

Heureusement pour Jack,car les deux accolytes de Mercer n'auraient pas hésité à le ruer de coups.Les trois ombres disparurent à l'intérieur de l'île,rejoignant la plage opposée à la ville,où les attendaient une chaloupe.Au loin,dans l'infini de la nuit,se dessinait les contours sombres d'une frégate appartenant,bien évidemment,à la funeste mais néanmoins victorieuse Compagnie.

HJ: OUah! Le sujet va être méga court! Je vais ralonger le tout...


Jack n'avait pas vu les coups venir. Mais lorsqu'il se rendit compte que Mercer était arrivé, Gwendoline était baillonnée! Et lui, il se faisait roué de coup. Il était hors d'état de nuire... temporairement... aurait-on pensé...
Lorsque les soldats s'enlevèrent, Jack respirait avec difficulté (tout à fait normal). Il s'était prit un coup dans l'abdomen, et un à la nuque. Il vit Gwendoline qui essaya de se débattre. Il parvint à murmurer un "non" presque inaudible. Dans un ultime effort, il se releva et brandit son pistolet. Il ne savait pas pourauoi, mais il ne voulait pas que les soldat emmène Gwendoline. Il dit, avec un soupçon de fatigue dans la voix:

- Re... Relachez-la...

Il était à bout de force, mais si ça pouvait permettre à Gwnedoline de s'enfuire...
Il tenait à peine sur ses jambes... Mais il se sentait capable de tout. Il mourrait d'envie de demander qu'il le prenne à sa place... Mais il était trop fatigué pour ça... Il ne tarderait pas à être anéanti...
Mais le fait qu'il soit debout pendant plus de 10 seconde dans l'état dans lequel il était et qu'il tienne son épée fermement était déjà un exploit en soit...

Hj : Et pour une fois,ce sont les méchants qui gagnent ! XD



Un ricannement lugubre répondit à l'ordre du capitaine.Que pouvait-il faire,de toute manière ? Ses jambes chancelaient,son esprit était brouillé et son pistolet ne comptait qu'une seule balle.La force était dans le nombre,et ce n'tait pas la pauvre Gwendolyne,à moitié étouffée par la poigne de l'assassin,qui dirait le contraire.
Mais la question que deaient se poser les deux amureux était la suivante : pourquoi les mercenaires avaient enlevé la jeune demoiselle au lieu d'abattre froidement le pirate ? Jack était si faible,ce serait si simple...Une lame entre les omoplates,net,sans bavures....Non,les ordres de Beckett étaient formels,la soeur d'Elizabeth vivante,point.
David se souvenait parfaitement ds mots de son mâitre : "La jeune fille est un point capital qu'il ne faut pas négliger.Et nous rapellereons ainsi au capitaine Sparrow deux règles essentielles de la vie : ce qui l'en coûte d'ainsi défie la Compagnie des Indes,et...Qu'aimer est bien la plus grande prise de risque que l'être humain n'ait jamais connu.Tant de génie dans un seul homme...Comme toujours,Mercr avait bu ces paroles avec délectation.
Et maintenant,il allait prouver au Lord à quel point il l'admirait en lui ramenant le fuit de ses attentes.

HJ: Effectivement... Mais ne te repose pas trop sur tes lauriers... Ca pourrait ne pas durer... Allez, je poste et après, tu pourras l'emmener... Après... En avant la musique!


Jack respirait avec difficulté. Il voulait proposer l'échange... Mais en y réfléchissant bien, il n'en avait pas la force, puisqu'il l'économisait déjà pour rester debout et pour tenir son arme, et si Mercer avait pris Gwendoline en otage, c'était que Jack ne lui était pour l'instant d'aucune utilité... Ca ne valait donc pas la peine de le proposer... Mais Jack voulait faire quelque chose pour la sauver... Mais quoi?
Peut-etre aller la chercher?
Peut-etre tirer?
Peut-etre tout de même proposer l'échange?
Aucune de ces propositions n'était la bonne...
Non, ses yeux ne voyait plus très clair, il ne pouvait donc pas tirer sans prendre le risque d'avoir Gwendoline...
L'échange était déjà exclut...
Mais pourquoi pas faire un pas et réitérer sa requète?
Jack se sentait impuissant et il y avait de quoi.
Mais pour Gwendoline il ferait n'importe quoi.
Il prit une grande inspiration, leva la jambe et fit un pas. Il ne lui restait plus assez de force. Il sentait les larmes lui monter aux yeux.
Malgré tout, il essaya de faire un nouveau pas. Mais ses blessures et les coup qu'il s'était prit eurent raison de lui et il tomba sur les genoux puis de s'étaler sur le sol, inconscient...
Il aurait vraiment tout fait pour elle sur le moment et avait les larmes aux yeux.
Aussi, lorsqu'il tomba au sol inconscient, une larme que personne ne pu voir coula de ses yeux fermé de fatigue le long de son visage.
Mais malgré cela, il pensait encore:

*Ne t'inquiète pas Gwendoline... Je viendrait te chercher... Jamais je ne t'abandonnerais...*

Pensées que ses multiples coups lui feraient oublier à son réveil...

Et comme pour répondre aux voeux incionscients et silencieux de leurs victimes,Mercer et ses comparses ne s'attardèrent pas.Pourquoi le faire,d'ailleurs ? Leur proie avait été capturée,aucun témoin gênant à éliminer,juste une voie libre vers leur vaisseau,vers le fort et les félicitations du Lord...David voyait déjà la scène : les trois hommes dans ce bureau devenu si familier,les yeux si bleus de Beckett posé sur lui,si confiants,si fiers d'avoir réussi....Peut-être même une poignée de main,une main sur son épaule...Quelques mots lui étant destinés pour témoigner du point auquel ses prestations étaient bénéfiques pour la EITC...
Rien que pour ça,l'homme en noir aurait tenter le Diable mille fois.Un rayon de lune parvint à traverser l'épaisse couche nuageuse,et cette soudaine lumière bleutée rappela au petit groupe qu'il était toujours en territoire ennemi,que Tortuga restait à être traversée,cette île à la forêt équatoriale luxuriante,emplie d'ombres et de mystères.

-Bonne soirée,capitaine Sparrow.Et au déplaisir de vous revoir.

Une poignée de secondes plus tard,et plus de trace d'une âme qui vive parmis les palmiers où Gwendolyne et ses ravisseurs avaient disparu.On aurait juré que rien ne s'était passé si le corps inerte de Sparrow ne s'était trouvé là,abandonné sur le sable blond.
David sentit les larmes de la jeune femme couler entre ses doigts,mais n'y prêta pas attention.Pourquoi l'aurait-il fait,d'ailleurs ? Pas que ça à faire.Bientôt l'eau claire et salée de l'océan vint leur lécher les pieds : une demi-heure qu'ils avaient laissé à son triste sort l'infortuné capitaine.Une demi heure de marche et d'incertitude,de chemins sinueux et de nuit noire.

-Montez,et pas un mouvement brusque.Ne donnez pas à mes hommes l'envie de retourner abréger les souffrances de votre ami.

L'odre était sec,sans appel.Les poignets de Gwendolyne furent ligotés et la demoiselle fut violemment poussée vers une chaloupe,suivie des mercenaires.Au loin,une lanterne s'était allumée sur le pont du navire,se balançant au rythme de la houle.

HJ : je repond la cette fois, mais on fait la suite sur quel sujet?

Gwendoline lança un regard noir à Mercer. Et dire qu'elle avait tout même un rand!! Bien que son père le Gouverneur soit mort, elle merritait qu'on la traire beaucoup mieux...Mais elle ne fit rien car elle ne voulait pas attirer plus d'ennuie à Jack....il continurait son affaire comme le code l'indique...elle se debrouillerait bien toute seule...enfin peut-être...

Hj : Selon l'idée géniale du capitaine,on devrait faire un sujet commun à Port Royal,mais il faut qu'il finisse avec Momo avant pourqu'on arrive tous ensemble au fort ^^



La frêle embarcation prit la mer et,après un vain combat contre les vagues qui venaient se briser contre la plage,gagna la haute mer.Mercer,en chef de l'expédition,ne ramait évidemment pas mais tenait en joue la pirate avec un petit pistolet qui ne le quittait jamais,comme sa dague,son coutelat,le frère jumeau de ce pistolet...Toute une panoplie,à l'abris dans le splis de son large manteau noir.
Un bruit sourd,un choc,puis une échelle de corde tomba comme par miracle au milieu de la barque.Sans plus de cérémonie,David chargea Gwendolyne sur son épaule et,sans même être gêné par cette charge,grimpa jusqu'au pont,suivi de ses sbires.
Tout autour d'eux,des marisn s'affairaient en silence,sans un regard vers la prisonnière,regard qui leur aurait coûté la vie.Mais la demoiselle n'eut pas le loisir d'observer leur manège fantomatique : la porte d'une geôle se referma sur elle.Seule,attachée et baillonnée,oubliée dans ce cachot humide et sombre sans un mot de la part de ses gardiens,la pirate passerait les prochaines heures sans eau ni nourriture en fond de calle.

HJ: Argh, je deteste poster un poste que pour du hors jeu! C'est un post pour rien! Enfin bref. Vous pouvez déjà commencer le sujet. Tout le monde l'attend, et puis, d'ici à ce que Momo et moi on finisse le sujet, on risque de perdre le fil. Alors commencez maintenant, comme ça on pourra vous rejoindre, Momo et moi. En plus, j'ai déjà plein d'inspiration pour quand Jack se retrouvera là bas (j'ai prévu six cas de figure + un qui consiste à improviser) et je risque de la perdre dans quelques jours... Alors ne nous attendez pas, on s'adaptera! Creez déjà le sujet. Je suis sûre que Beckett n'attend qu'une chose: Voir que son plan a marcher, et je suis quasi-certaine que Mercer n'attend que les félicitations de son patron. Alors (je ne le dirais jamais assez) COMMENCEZ SANS NOUS? ON VOUS REJOINDRA!

Hj : Très bien,je m'en charge